Forum test Camorr
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Forum test Camorr

Blablabla.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur Moulinex Companion ...
600 €
Voir le deal

 

 GANGS

Aller en bas 
AuteurMessage
Fred

Fred


Messages : 82
Date d'inscription : 28/03/2015

GANGS Empty
MessageSujet: GANGS   GANGS EmptyMer 1 Avr - 22:13


Bandes de Camorr



L'organisation des Gens Bien en bandes est efficace, le système de pezon, de garrista et de capa ayant fait ses preuves au fil des années. Camorr regorge de différentes bandes de criminels, certaines étant plus anciennes que bien des familles d'Alcegrante et d'autres ayant des rituels plus stricts que certains ordres religieux. Leur nombre total atteint à peu près la centaine. Lorsque trente capas régnaient sur la ville, ceux-ci avaient quatre ou cinq bandes sous sa coupe, mais avec l'arrivée de Barsavi, les manigances supposées du duc Nicovante et la guerre entre Lore Mariana et Bethe La Foudre, plusieurs de ceux-ci ont été absorbés et redistribués entre les différents chefs. La grande majorité des bandes se retrouve désormais sous l'autorité du capa Barsavi, qui à chaque capa descendu, redistribue les territoires et laisse les bandes fonctionner sans son autorité, ni son intervention, si ce n'est de la taxe prélevée.

Les Gens Bien aiment à se retrouver à La Dernière Erreur, taverne mal famée tenue par l'ancienne contrarequialla Lima Soter, où ils peuvent boire et discuter librement de leurs affaires. Les citoyens respectables y sont facilement repérés et escortés jusqu'à la sortie soit par la tenancière elle-même, ou par quelques gros bras à l'imagination limitée. Elle occupe tout le rez-de-chaussée de la Tour Brisée et après la tombée du faux-jour, elle abrite rarement moins de cent clients. Bien que les Vestes Jaunes savent parfaitement qui se rassemble à cet endroit, elles n'y mettent jamais les pieds, sachant tout à fait qu'elles se retrouveraient en infériorité numérique et même sans cela, grandement désavantagées.


La division de la possession des bandes se fait selon les différents quartiers de Camorr et quel capa a le pouvoir sur cette partie de la ville. Il arrive parfois qu'un territoire soit scindé entre plusieurs capas, mais ce n'est jamais bien long avant que la situation ne soit à l'avantage de l'un d'eux.

Aiguille Ouest (Varna)
- Les Veuves-demain : À l'image de la créature qui les désigne, les membres de cette bande ont développé une expertise en camouflage et possèdent une quantité remarquable de vêtements à impression de murs, de tapisseries et de végétation, entre autres choses.

Crocs de Camorr (Varna)
- Les Fraudeurs Noirs : Petits vendeurs à la semaine qui ajoutent de l'eau dans leur vin et leur lait et vendent des drogues coupées au verre pilé. Ils enraient les plans de plusieurs bandes rivales avec plaisir, en vendant leurs produits moins chers et en quantités concurrentielles, sans oublier de le faire sous un faux nom. Histoire de ne pas se griller auprès de leurs clients naïfs.
- Les Rats de Cale : Fondée par une bande d'anciens pirates, une bande de fouilleurs de navires et de cales qui ont investi un vieux bateau depuis longtemps abandonné sur les Crocs de Camorr. Ils ont donné bien naturellement leur allégeance à Varna, en sa qualité d'ancienne pirate, et tout changement de capa sera difficile à vivre.

Docks (Varna)
- Les Dockeuses : Bande de putes qui gère l'ouest de Camorr, ainsi que les docks. L'emplacement du bordel, près des docks, suppose une allégeance au capa Varna, mais la garrista des Dockeuses est la soeur de Bethe La Foudre et elle a donc une allégeance double qui permet le maintien de l'alliance entre les deux femmes.
- Les Crocs de voleur : Ils se promènent toujours deux par deux, comme les armes de leur titre, par précaution autant que pour tendre des embuscade encore plus efficaces, ou faire des diversions plus crédibles.

Les Traquenards (Varna)
- Les Muguettes : Bande de putes qui contrôle l'Est de Camorr. Leur bordel principal est néanmoins situé dans les Traquenards, principalement pour assurer une bonne communication avec les Dockeuses en cas de litiges (puis, les affaires y sont les meilleures, là). Elles ont une deuxième maison située dans Prendfeu, protégée par Bethe La Foudre de la même façon que Varna protège la maison-mère des Dockeuses. Un échange de bons procédés, somme toute. Elles sont réputées pour être plus brusques que les Dockeuses.
- Les Fées de la Gueule de Bois : En bref, ils te torchent et te refont la gueule comme Therim Pel. Pros de la baston, des arguments pour que le chaland boive trop d'alcool jusqu'à ne plus se souvenir de son nom et des gaillards louches aux poings aussi gros que leur tête, on ne leur cherche que rarement -jamais- des noises. Lorsqu'ils rackettent quelque chose, on leur donne avec un « merci ».
- Les Mistigris : La bande existait bien avant que Varna en devienne la garrista, rôdant sur les quais et dans la ville avec la même agilité que les félins dont ils tirent le surnom. Depuis que la pirate en a pris les rênes, ce sont aussi des fournisseurs très courus de chats, bébés et adultes, à emporter sur les navires. Leurs animaux sont vigoureux, en santé, et s'embarquer avec l'un d'eux est une garantie supplémentaire de bonne navigation.

L'Arsenal (Larone)
- Les Gars de l'Arsenal : Une des plus anciennes bandes de Camorr, du temps où la bagarre pour les noms se résumait en « les Gars d'un Endroit » et « les Types de l'Autre ». Ils ont une complexe tradition, en ce qui concerne l'acceptation de nouveaux membres, et forment une bande reconnue, bien qu'à l'allégeance changeante.
- Les Faussaires : Spécialistes en imitations d’œuvres d'art, dont de la dernière floraison (avec plus de succès, pour celle-ci), qui aiment à glisser quelques surprises dans les cadres et la peinture, à l'occasion. Ils ont même un kiosque à eux, au Marché Changeant, et plusieurs de leurs œuvres se retrouvent chez les plus riches, qui ne se doutent de rien.

Aiguille Sud (Larone)
- Les Bâtards Sages : Ancien morceau des Gars de l'Arsenal, qui s'est détaché de la bande d'origine pendant la Guerre des Mille Jours, pour des questions d'allégeances. Loin d'être des risques-tout, leurs coups sont toujours soigneusement planifiés. Ils ont gardé des Gars une certaine tendance, cela dit, à l'allégeance peu fidèle, cequi peut justifier le bâtard de leur titre.
- Les Découpeurs du Faux-jour : Ils profitent de la fausse quiétude du faux-jour, du moment où tous rentrent pour laisser la place aux ombres, pour effectuer leurs larcins. Quant au terme découpeur, c'est autant pour leurs ombres qui se découpent dans le couchant que pour leur préférence aux lames bien affûtées.
- Les Embouteilleurs : Larone mène cette petite bande de pirates et de malfrats qui aiment bien la bouteille, mais surtout voler celles des autres. Ils sont connus pour leurs incursions en territoires ennemis et leur manque total de prudence. Les Tonneliers de la Troisième roue les ont dans le collimateur, depuis qu'ils ont dévalisé une de leurs cargaisons de tonneaux.

Mara Camorazza
Nord (Raza Cala)
- Le Sourire de Venaportha : La bande menée par Raza Cala vit littéralement dans la terreur, chaque action étant menée par cet homme qui remet tout au hasard. Attaques plus ou moins risquées, vols parfois ridicules, parfois dangereux, coups d'éclat, ils sont imprévisibles et on ne sait où les attendre, ni comment les surprendre.
- La Vengeance de Rouille : Bande qui n'accepte que des roux en son sein et qui s'occupe de traquer les Jérémites qui se cachent à Camorr. Ils se battent contre l'esclavage, les horreurs perpétrées par les Jérémites, et vont de coup d'éclat en coup d'éclat. Ils se planquent dans la Mara Camorazza, mais tous les capas acceptent leur passage sur leur territoire. Tout le monde accepte leur mission et la respecte.

Sud (Marek Villo)
- Le Beau Théâtre de Fernando : Troupe de théâtre itinérante, une des rares bandes qui sort de Camorr à l'occasion pour aller voler et escroquer dans les villes voisines, à leurs risques et périls. Personne ne les tient en estime, pas même chez les Gens Bien, mais leurs représentations sont toujours complètes.
- Les Doigts Manquants : Être estropié d'une façon ou d'une autre est un prérequis pour devenir un Doigt et vu le nombre de membres que contient la bande, c'est à la mode. Rescapés de la guerre, mercenaires qui en ont vu d'autres, orphelins malchanceux, tout y est. Il paraît même que certains aspirants se font couper un minimum de deux doigts pour avoir le droit d'entrer dans la bande. Son garrista est Marek Villo, qui sait qu'au moins, aucun des Doigts ne lui manquera de respect, ou rira de son oeil manquant.
- Les Scalpés : Le nom est un héritage uniquement, venu d'un chef qui aurait été mal pendu sous le Pont Noir et qui serait tombé dans le canal en laissant tout son scalp dans la corde, et il n'y a aucun scalpé au sein de la bande du même nom.

La Lie (Marek Villo)
- La Porcherie : Ses membres sont nommés les Truies, les Cochons et les Verrats pour ses plus jeunes membres. Si la bande est très populeuse, peuplée par les divers enfants des adultes en âge de procréer, elle est très désorganisée.
- La Maque Heureuse : Bande d'anciens maquereaux et de connards qui ne digèrent toujours pas la prise de pouvoir des putes, bien que ce soit passé depuis longtemps, et qui continue de traiter les filles publiques de la pire façon, sans respect de leurs règles. Il n'y a pas de renouveau au sein de la bande et l'emplacement de leur quartier général est inconnu, ce qui rend difficile toute traque de ceux-ci. Ils occupaient auparavant le territoire de Varna, mais ils ont fui jusqu'à la Lie pour ne pas être repérés.

La Colline des Ombres (Vencarlo Barsavi)
- La Société de la Colline des Ombres : La Colline est le domaine incontesté du Faiseur de Voleurs et de ses gamins et la Société est donc la seule bande qui occupe les lieux. Le Faiseur de Voleurs est le garrista de la bande, chose qui n'est jamais discutée, et il s'occupe de récupérer et d'élever les gamins orphelins de Camorr. Certains restent avec lui pour plus longtemps que d'autres, mais ils sont tous à un moment ou à un autre vendu à un autre garrista, lorsque leurs capacités deviennent plus développées, ainsi que leurs affinités. Une grande majorité des enfants meurent de leur imprudence, pendus aux côtés des adultes. La Société se divise en deux catégories de voleurs, œuvrant sur un terrain différent.
La Rue : Séparée entre les Pognes, ceux qui font les poches des civils, et les Mariolles, qui se chargent de détourner l'attention et de créer les diversions. Les Pognes se doivent d'être plus habiles de leurs mains et capables de voler lestement, tandis que les Mariolles (généralement les plus jeunes) s'occupent du théâtre, de crier au voleur et de pleurer leur mère. Leurs camarades peuvent ainsi s'enfuir avec leur butin, volé dans les poches des passants, ou sur les étals.
Les Fenêtres : Petit groupe plus fermé d'élus qui gagnent leur vie après le coucher du soleil. Ses membres rampent sur les toits et passent par les cheminées, crochètent les serrures et se faufilent entre les barreaux des fenêtres pour voler à même les maisons. Pièces de monnaie, bijoux, blocs de saindoux, nourriture, etc. Leur statut est plus prestigieux, au sein de la Société, et ses membres habituellement plus âgés que les membres de la Rue.

Les Goulets (Vencarlo Barsavi)
- Les Couronnes Lourdes : Les nouvelles recrues de la bande se font appeler les Demi-Couronnes. Bande très hiérarchisée où les Demi-Couronnes font tout pour atteindre un poste de second et s'attirer le respect de leurs rivaux des autres bandes, donc d'amener des pezons par la force aux Couronnes Lourdes. Plusieurs jeunes recrues inexpérimentées se retrouvent donc à donner une partie de leurs recettes aux Demi-Couronnes. Bagarreurs, plus d'hommes que de femmes. Ils forment la plus grosse bande de Camorr.
- L'Orchestre : Musiciens le jour, mercenaires la nuit, l'Orchestre gravite dans toutes les îles de Camorr, joue parfois pour des membres de la haute-bourgeoisie, mais son QG est dans une chambre crasseuse des Goulets. Peu nombreux, les Musiciens remplissent des contrats sans avoir aucun scrupule et voyagent parfois pour parfaire leur art musical. Ils ont tous été formés par le même barde itinérant qui leur a aussi transmis le goût du sang au long de leur apprentissage et était leur garrista jusqu'à sa mort récente dans un canal, la gorge tranchée. Par mesure de sécurité, aucun des musiciens ne donne son vrai nom lorsque viennent les présentations.
- Les Assez-Futés : Bande de maraudeurs qui agissent surtout le long des quais, à repérer une éventuelle cible à détrousser tout en ayant un emploi rémunéré de canotiers et de transporteurs de passagers d'une île à une autre. Ils fournissent un transport rapide aux Gens Bien des autres gangs sous le même capa, et la personne qui les dirige se fait appeler Dent-Manquante. (cf République des Voleurs)
- Les Faux-Sourires : Nom ironique s'il en est, vu les gueules sombres que tire cette bande aussi peu active que difficile à attraper. Ils aiment à signer leurs rares larcins de dessins enfantins gravés dans le bois, pour ensuite ne laisser que peu de traces de leur venue. Ils dansent sur le fil des taxes non payées depuis un certain temps, mais ils ne semblent n'y voir que peu d'intérêt.
- Les Vingt-Trois Connards : Ils comptent quelques connasses et ont grossi en nombre depuis que la compagnie de mercenaires du même nom s'est installé dans les Goulets il y a une centaine d'années. Cette joyeuse bande aime festoyer, injurier, culbuter, se battre et peupler les tavernes de leurs couplets vulgaires et de leurs sales manières.  
- Les Gargouilles : Ils tirent tous leurs revenus d'un droit de passage sur le pont de pierre qui va des Goulets à la Mara Camorrazza, le territoire microscopique sur lequel ils règnent. S'ils ont fait allégeance, foncièrement, ils jouent pour eux et n'hésitent pas à laisser passer, qu'importe le sens, qui leur lâche des cuivres dans la paume.
- La Pleureuse : Ils se mêlent aux crieurs de morts, annoncent à tel homme ou telle femme que leur conjoint a connu un destin funeste (alors que la tendre moitié est trop occupée à l'autre bout de l'île par des complices). Ils réalisent une quête dans le voisinage de leur victime, soit disant pour aider le veuf ou la veuve et leurs enfants, et emportent la petite cagnotte avant que le faux-défunt ne réapparaisse.
- Les Guenilles : On les appelle aussi les Haillons, les Mange-Tissu et autres déclinaisons, parce qu'ils volent le linge pendu aux fenêtres et revendent les frippes pour presque-rien aux quatre coins de Camorr. Certains de ses membres seraient des lavandières qui jalousent les habits de leurs clients.

Le Chaudron (Vencarlo Barsavi)
- Le Souffle de Nara : Les Souffleurs sont spécialistes en simulation de différentes maladies infectieuses (sans être jetés hors de la ville) et profiter de ce théâtre pour circuler où bon leur semble.
- Les Flamboyantes : Aiment à voler des atours féminins, que l'on parle de bijoux, de robes, ou de parfums spéciaux, surtout auprès de la noblesse. Bien que la majorité soit composée de femmes, les hommes y sont aussi acceptés, malgré les nombreuses railleries.
- Les Filles du Voisin : Ses membres sont nommées les Voisines. Bande entièrement féminine et familiale, où on entre par le biais d'une aînée et ce dès l'enfance. Elles ont à cœur de récolter, créer et colporter des rumeurs. La garrista est une vieille grande-tante de près d'une centaine d'années, apparemment, et sa succession se fera à la plus âgée des Voisines.
- Les Prêtres de la Crasse : La crasse engendre la crasse, le Chaudron la pègre, et ces Prêtres font campagne dans les familles pour que les gamins rejoignent la plus grande famille de Camorr et soient placés sous le dieu mystérieux qu'est le Treizième. Il est rare que les Prêtres en question soit réellement ordonnés du Treizième, d'ailleurs.
- Les Amarantes : Recueillent les déchets des alchimistes, noirs ou agrégés, pour faire pousser une variété admirable de plantes empoisonnées et carnivores qu'ils aiment à disposer au hasard de Camorr.
- La Société du Caviar : À la rencontre de la Guilde des Cuisiniers et des Gens Biens, la Société du Caviar est maîtresse dans les plats truqués cachant des armes, des poisons et des messages. Et évidemment, les plats sont toujours délicieux.
- Les Braillards : Le Chaudron regorge de gamins hurlants, plus ou moins orphelins, utilisés par leurs parents pour détourner l'attention le temps de commettre quelques larcins. Les gamins sont emmenés dans les quartiers plus riches, pour effectuer leur œuvre, sans même savoir ce qu'ils font.
- La Société des Saisons : Ensemble de criminels qui n'œuvrent que pendant les saisons où la mer est fermée, les Vestes Jaunes supposent que ce sont des marins le reste du temps. Les membres de ce gang dépouillent les malheureux dans les rues pendant les nuits d'automne et d'hiver.
- Les Maternelles : Ses membres se spécialisent dans l'exécution du lait de pavot -ce qui leur vaut bien des regards sombres de la part des alchimistes noirs- pour réconforter les enfants bruyants et d'autres petits breuvages parfois empoisonnés, parfois uniquement planants.
- Les Égorgeurs du Chaudron : Ils égorgent, sans plus de cérémonie. La bande est une antiquité, dans l'univers des Gens Bien, et on y retrouve beaucoup les descendants des premiers fondateurs. Si leur terrain de prédilection est le Chaudron, ils y sont désormais confinés par toute la concurrence sauvage qui règne hors de ce territoire connu. (cf. livre)
- Les Francs-Fondeurs : Adossés à Fumehouille, ils étaient des récupérateurs de métaux, qu'ils fondaient et convertissaient en armes de fortune, jusqu'à ce que Barsavi les propulse faux-monnayeurs. Ils font encore le commerce de leurs épées, toujours de meilleure facture, pendant qu'ils brassent la monnaie venue de Tal Verrar en solons et tyrins bien camorriens.
- Les Deux-Cents Courages : La plus grande bande du Chaudron a été décimé par Barsavi au tout début de son ascension. Ceux qu'il reste sont appelés, non sans ironie, les Deux Sans-Courage. Oui, ils ne sont plus que deux.
- Les Héritiers de Markos : Voleurs et pillards sans envergure, ce sont surtout de féroces joueurs de balle-aux-mains. Ils nourrissent une rivalité sanglante et ancestrale pour les Tarés de Pleutcendres, alors qu'ils vivent tous sous la coupe du capa Barsavi.  
- Les Amasseurs de Verre : Ils défoncent les fenêtres des maisons pour financer le commerce des Vitriers, juste échange de bons procédés, et profitent de ces bruyantes diversions pour s'infiltrer par une autre entrée dans le logis qu'ils désirent cambrioler.
- Les Bouche-trous : Sans but précis, cette bande sert à ce dont elle est nommée. Ils bouchent les trous lors de certaines attaques, soutiennent leurs confrères et se retrouvent dans des actions qui dépassent bien souvent leurs connaissances. Pas bien bons criminels, sans être mauvais, ils dépannent les bandes sous Barsavi en se déplaçant selon ce qui est demandé.
- Les Amateurs : On forme beaucoup de racaille criminelle au sein des Amateurs. Les gamins les plus prometteurs du Faiseur de Voleurs sont achetés par cette bande, qui transforme ces amateurs survivalistes en criminels doués. Ils les revendent ensuite à d'autres bandes, qui parfois leur envoient leurs recrues les plus empotées.
- Les Affûtés : Et non pas les Assez-Futés, une bande complètement différente. Les Affûtés entretiennent et réparent les armes des bandes qui sont sous le même capa, leur évitant des visites plus coûteuses chez des maîtres en la matière. Ils peuvent également, moyennant argent sonnant, trouver une arme spécifique appartenant à une personne spécifique et la ramener... ou encore la reproduire.

Les Taudis de Bois (Vencarlo Barsavi)
- Les Revenants : Reprennent l'identité de Camorriens morts depuis plus ou moins longtemps, pour ainsi faire leurs trafics et leurs entourloupes sous divers noms intraçables. Paient un tribu à leur capa, mais également une somme minimale aux Yeux d'Or, aux Croque-morts et à la Société de la Colline des Ombres, qui les fournissent en fausses identités.
- Les Ténébreuses : Anciennes contrarequiallas qui recrutent quasi uniquement des jeunes femmes qui ont la même activité qui sont donc formées à cet art dangereux, en plus du vol et de l'escroquerie. Les moins habiles se retrouvent à gérer et truquer les paris des contrarequiallas de leur bande. Les rares garçons s'occupent des requins de Barsavi.
- L'Invasion verrarienne : C'est une insulte, un gant frappé au visage, que le nom de cette bande, créée et menée par Vencarlo Barsavi. Aux Camorriens haineux s'est donc ajoutée cette bande, composée uniquement de Verrariens, par désir de provoquer. Force est de constater qu'elle s'est imposée parmi plusieurs et que les envahisseurs ont gagné un terrain plutôt conséquent.
- Les Démons : Bande menée par un quatuor de Vadrans, venus à Camorr depuis un temps indéterminé. Leur accent est toujours aussi abominable, cela dit, allant même jusqu'à le cultiver, et leurs pezons sont triés sur le volet par leurs soins. Ils se spécialisent surtout dans des meurtres parfois propres, parfois abominables, et Barsavi apprécie leurs services comme bourreaux. Les quatre garristas sont connus sous des surnoms, soit La Splendide, Le Magnifique, La Dragonne et L'Intrépide. Il est de coutume d'avoir un surnom, dans cette bande, par protection surtout.
- Le Cirque d'Elenah : Circassiens qui font concurrence au Beau Théâtre de Fernando, jouant sur leurs plates-bandes avec aisance. Leur réputation est à peine meilleure, mais ils ont l'avantage de mêler d'autres arts à celui du théâtre et de savoir s'en servir efficacement pour détrousser leurs spectateurs.
- Les Dévoreurs de papier : Petite bande de littéraires aux connaissances impressionnantes sur la période du trône Thérin, amateurs de rhétorique, de jeux d'esprits et de magouilles élégantes. Ils ont bien peu d'estime pour les Faussaires, dont ils ne cessent de critiquer les imitations qui ne peuvent pas tromper les vrais amateurs comme eux.
- Les Sangsues : Au contraire de celles Canines (bien que quelques membres en aient la formation), celles-ci aiment uniquement rougir les eaux de Camorr et y attirer les requins, pour le simple plaisir de la chose. Ils font des bourreaux imaginatifs et acceptent de soigner les membres de bandes alliées pour une somme sonnante, discrétion parfois incluse.
- Les Parieurs : Ils s'assurent de truquer (parfois par deux fois) les paris sur lesquels les Gens Bien misent, organisent de fausses mises qu'il remportent entièrement, pour ensuite mieux disparaître et revenir sous de nouveaux faux noms à chaque nouvel événement sportif.

Pleutcendres
Nord (Bethe La Foudre)
- La Ceinture de Preva : Filles et petites-filles de prostituées, elles se déguisaient pour attirer le badaud et le dépouiller dans une chambre confortable. Entrées en conflit avec les Dockeuses, qui les accusaient de pourrir le business, elles ont été partiellement décimées (et jouissent d'une sale réputation parmi les criminelles). Reformée par Bethe, et complétée par quelques hommes, la troupe ceinture la demeure de leur capa contre ses ennemis.
- La Conjuration : Les conjurés n'existaient pas avant de promettre à la Foudre de la servir. Tous des gosses de Prendfeu, ils la connaissent depuis des décennies ou, plus jeunes, ils connaissent sa légende. Ils sont réputés fanatiques, amoureux d'elle et dépravés, trois caractéristiques pour entrer dans la Conjuration.

Sud (Vencarlo Barsavi)
- Les Visages Gris : Nom à cause de la cendre de Pleutcendres, dont leurs vêtements et leurs visages sont barbouillés pour masquer les identités et leur permettre de se mouvoir librement sur l'île.
- Les Vitriers : Bande qui propose une protection rapprochée aux échoppes des bourgeois ayant la mauvaise idée de travailler dans Pleutcendres. Ceux qui ne paient pas le racket ont tendance à voir leurs carreaux brisés par des jets de pierre de garnements -souvent les enfants des membres du gang- et doivent alors racheter des vitres aux Vitriers.
- Les Tarés (de Pleutcendres) : Fous furieux de balle-aux-mains, ils se jettent sur le ballon comme sur les couteaux de leurs ennemis. A l'aise au corps-à-corps, ils se font aussi appeler la Haine de Markos lorsqu'ils jouent, à la moindre occasion, un match contre l'équipe du Chaudron, les Héritiers de Markos. Leur capa n'arrive pas à éteindre la querelle qui occupe tout leur temps.
- La Vieille École : Bien ironique que cette bande qui prône les bonnes vieilles méthodes des Gens Bien ait donné son allégeance à Barsavi, un Verrarien qui n'ira certainement pas en remontrer à des Camorriens pur sang. Racistes, dédaigneux, supérieurs, les membres de la Vieille École regardent de haut les innovateurs et les originaux.
- Les Gredines : Elles font partie des anciennes bandes de la ville. D'une taille moyennant grande, les Gredines ont avalé les Filoutes et les Fripouilles, au fil des années, pour devenir une bande aux talents multiples (bien que tous moyens). Bien que pas exclusivement féminine, on y accepte néanmoins bien plus volontiers ces dames que ces messieurs.
- Les Blancs : Amateurs de j'attrape-le-duc, la version thérine des échecs, ils se désignent chacun sous les termes qui qualifient les pièces de ce jeu très populaire sur tout le continent.
- Les Salamandres cendrées : Ils font de la revente d'animaux de compagnie, rares et moins rares, aux bourgeois désireux d'avoir une volière garnie, ou un contingent de chiens bien dressés. Leurs bêtes ne sont pas toujours bien nourries, ni bien soignées, mais elles sont toujours suffisamment poudrées pour que rien n'y paraisse le temps d'une vente fallacieuse.
- Les Marins d'eau douce : Ils n'ont rien de marin, peut-être juste le mal de mer, et se font passer pour des officiels de la marine de Camorr pour s'aventurer sur les navires et y piller subtilement quelques effets qu'ils jugent superflus. Ils remplissent ensuite de faux rapports de pertes, falsifiés, pour effacer ce qui a été pris.
- Les Mal-lunés : Colériques et mal embouchés, ils obtiennent leurs gains en piquant de faux scandales dans les pâtisseries et les marchés, prétextant une viande pas fraîche (même si jamais acheté), ou un gâteau recouvert de mouches. Ils se font offrir un objet, en guise de réparation, parfois quelques pièces, et repartent avec leur butin sous des airs d'offensés.
- Les Enfants de chienne : Pas mal de prostituées ont donné naissance à des orphelins et certains d'entre eux se retrouvent acoquinés sous cette bannière, qu'ils veulent humoristique (même si elle recèle un fond de rancœur). Campagner pour un démantèlement des bandes de filles publiques n'est pas un bon choix, évidemment, donc ils se contentent de donner mauvaise réputation à certaines filles. Le client distrait se fait ainsi détrousser, d'un argent qu'il ne risque de toute façon plus de donner à certaines prostituées par la suite. C'est un jeu dangereux, mais ce n'est rien de plus illégal que le reste. Pour le moment.
- La Bonne poire : Ces faux commissionnaires proposent leurs services à des marchands, qui les envoient porter des effets à des camarades. Après quelques commissions bien effectuées et la confiance gagnée, ils disparaissent dans la brume avec ce qui leur a été confié pour une dernière fois. La bonne poire, pour ainsi dire, devient leur employeur du moment.
- La Farce : Les farces sont parfois celles des chapons, épicées aux laxatifs, ou encore celles qui s'amusent à remplacer les fausses lames des magiciens de cirque par de réels couteaux bien tranchants. Farceurs plus meurtriers que réellement amusants, ils taquinent les artistes et les cuisiniers de coups habiles qui ruinent leurs efforts. Le matériel jeté est ainsi récupéré et revendu et les plats empoisonnés simplement décontaminés et dévorés.
- Les Coups montés : Aux bandes les moins efficaces, les Coups montés vendent des arnaques toutes faites dont le pécule est ensuite divisé entre la bande acheteuse et celle qui a vendu le coup en question. Vols divers, petits meurtres, petites escroqueries, selon le montant, tout peut être exécuté et être signé d'une bande qui, en vérité, n'a pas levé le petit doigt.

Fumehouille (Bethe La Foudre)
- Les Brumes noires : Bande de pyromanes depuis leur plus tendre enfance, les membres de ce groupe ont appris à leurs dépens qu'il valait mieux parfois réfréner ses pulsions incendiaires en faisant partir en fumée un convoi de tissus luxueux qu'ils avaient intercepté, dans des temps immémoriaux. Depuis cet épisode, ils utilisent de l'alchimie de théâtre pour faire croire à des incendies et pillent les baraques et les échoppes. Ce sont d'ailleurs de grands amateurs des tragédies de l'époque du Trône Thérin.
- Les Ferrailleurs : Cachés parmi les forges (et protégés par les ouvriers qui sont souvent leurs parents, frères et soeurs, cousins), ils accumulent un butin métallique qui fait les fortifications entre Fumehouille et le Chaudron. Ils sont aussi connus pour leur modus operandi de guerilla urbaine. Ils connaissent bien leur quartier, ses cachettes, ses coupe-gorges, mieux que les types des Goulets ou du Chaudron qui s'aventurent chez eux.

Prendfeu
Est (Lore Mariana)
- Les Barons de Prendfeu : Bande très fermée et réputée comme très difficile à approcher. Ses membres se considèrent comme une noblesse parmi la pègre, d'où leur nom, vu leur ancienneté et leur transmission mêlant hérédité et méritocratie. Ils portent une grande attention aux objets de leur larcin autant qu'à leurs manières et à leurs alliés. Leur pédanterie ne les rend pas moins redoutables, cela dit.
- Les Maraudeurs : Les Maraudeurs et les Maraudeuses formaient une seule et même bande, avant la guerre des capas. Les femmes ont décidé de suivre Bethe, dans un soucis de soutien féminin, tandis que les hommes ont pris le parti de Lore Mariana, l'époux cocu. Plusieurs mariages ont ainsi fini abruptement et de toutes les bandes, ce sont les deux qui se déchirent avec le plus de vigueur.
- La Main d'Azri : Lore Mariana est le garrista de cette bande de combattants qui répond autant au Treizième qu'à Azri, au point d'en porter les couleurs du clergé, soit le gris et le rouge. Soldats devant payer de vieilles dettes, capitaines pervertis, mercenaires, combattants de la guerre des Mille Jours, leur recrutement est prudent par le garrista qui est en même temps leur capa et faire partie de cette bande est un honneur.

Ouest (Bethe La Foudre)
- Les Maraudeuses : Les Maraudeurs et les Maraudeuses formaient une seule et même bande, avant la guerre des capas. Les femmes ont décidé de suivre Bethe, dans un soucis de soutien féminin, tandis que les hommes ont pris le parti de Lore Mariana, l'époux cocu. Plusieurs mariages ont ainsi fini abruptement et de toutes les bandes, ce sont les deux qui se déchirent avec le plus de vigueur.
- La Belle Escorte : Du nom d'une ancienne maison de passes, les membres de l'escorte occupent les lieux et y accueillent tous les miséreux qui réchappent des épidémies mais dont la maison et les possessions ont péri par le feu. Mélange de mendiants, d'estropiés, d'orphelins, ils forment une grande famille, très soudée mais aussi très vulnérable.
- La Confrérie de la Poudre : Artistes de la diversion, ils frayent avec les alchimistes noirs pour obtenir des poudres de toutes sortes : opaques, irritantes, à diluer dans l'eau ou à cracher au visage. S'ils passent surtout pour des farceurs, et qu'ils s'adonnent rarement au meurtre, les avoir pour ennemis peut rendre la vie pénible, voire faire perdre la vue.

Colline aux Murmures (Lore Mariana)
- Les Croque-morts : Pilleurs et videurs de tombes, déterreurs de morts à revendre aux alchimistes noirs, voleurs de reins et de foies à utiliser dans des trafics quelconques d'ingrédients. Rares sont ceux qui rejoignent les Croque-morts, habituellement les gamins les plus louches du Faiseur de Voleurs.

Tertre du mendiant (Bush Strozzi)
- Les Yeux d'or : Ils se font passer pour des fossoyeurs, pour mieux enterrer, déterrer et enterrer à nouveau les cadavres des plus nantis. le but de l'opération ? Dépouiller les cadavres de leurs atours riches et de leurs bijoux, à revendre au marché après un nettoyage sommaire pour en enlever l'odeur sinistre de mort.

Quiétude (Bush Strozzi)
- L'Ambassade : Dirigé par Strozzi lui-même, chaque ambassadeur est fin négociateur au commerce et à la guerre. Il les envoie, en émissaires, dans tous les coins de Camorr pour s'attirer l'amitié de tel bourgeois, la bienveillance de tel magistrat, la patience de tel usurier. C'est un clan dispersé, retors, qu'on ne voit jamais s'acoquiner alors qu'ils jouent pour eux contre tous les autres.
- Les Boulangers : Appelés ainsi à cause de la force de leurs poings et de leur technique de "pétrissage" des visages de leurs victimes, les Boulangers ne sont pas du tout du style à aimer se beurrer la biscotte, loin de là. Ils prospèrent et sont spécialisés dans l'agression de bourgeois un peu trop riches et pas assez prudents qui traversent Quiétude en direction du Quartier des Temples. Si les îles des Temples sont sacrées, celle de Quiétude est leur terrain de chasse favori, où les imbéciles se croient en sécurité à cause du nom trompeur.
- Les Échappés : Bande plutôt réduite, dont le garrista est l'artificier Vasco Veridian. Terreurs des geôles, ils se spécialisent dans l'évasion, avec plus ou moins d'effets selon la situation. Trafiqueurs de serrures pour la majorité d'entre eux, ils poussent le vice jusqu'à prendre la place de leurs clients pour ensuite doublement s'évader en bonne et due forme. Leurs talents en font des Gens Biens très courus et ils peuvent se permettre de choisir ceux à qui ils pourront délivrer leurs services, généralement d'autres bandes de Camorr.
- La Quiète Canaille : Ces petits bourgeois ont renoncé à quelques privilèges pour s'offrir le frisson d'appartenir aux Gens Bien. Bush Strozzi les traite bien aussi longtemps que leur comédie lui rapporte une belle redevance. Cette racaille endimanchée fait doucement ricaner leurs pairs et, malgré tout, cela les laisse relativement tranquilles.
- Les Piocheurs dans les Poches : Plus pillards que piocheurs, c'est dans les poches des dieux qu'ils chapardent. Comme leur capa, ils préfèrent la richesse à la piété et ils sont des rares à oser profaner des temples et voler des prêtres. Par conséquent, ils ont très mauvaise réputation, chez les Gens Bien comme dans le reste de la société camorrienne.  
- Les Vestes Pourpres : Clin d'oeil à ces anciens camarades Vestes Jaunes, Bush a réuni un ramassis d'assassins, d'anciens soldats et autres porte-lames pour s'en faire une milice privée. Il manque un peu d'éducation et, à l'origine, ils s'appelaient les Vestes Blanches mais à part ça...

Eau de Rouille
Nord (Felipe)
- Les Vieux Briscards : Felipe a été placé à la tête de vieux soldats de la Guerre des Mille Jours et d'autres combats contre diverses cités thérines, les plus éclopés et écorchés, paranoïaques et fanatiques des embuscades en pleine nuit, incapables de dormir sur leurs deux oreilles qu'ils sont. Ils regardent de haut leur gringalet de garrista, un Verrarien par-dessus le marché, et l'entente est généralement mauvaise.
- Les Mirés : Ils sont complètement shootés et ce la très grande majorité du temps, de plusieurs drogues parfois non identifiées. Leur activité principale est d'attendre des visions pour ensuite les suivre et voler les personnes indiquées par celles-ci, avec des résultats assez aléatoires. Entre eux, ils aiment à s'appeler « les Veilleurs », mais il faut croire que leur premier nom leur colle à la peau.
- Les Pas-Perdus : Ancienne division des Sauteurs de Canaux, capables d'intercepter les transports des marchands qui ont appris à éviter les bandes postées à la Porte Cenza et à passer par divers raccourcis longtemps inconnus et inexplorés.
- Les Danseurs du Carnaval : Amuseurs de rue, acteurs et chanteurs, ils effectuent des tours de fausse magie en cachant des lames dans leurs manches et détroussent ainsi leurs clients en leur tranchant superbement la gorge. Ennemis du Cirque d'Elenah, du Beau Théâtre de Fernando et de l'Orchestre, pour leurs magouilles meurtrières qui rendent méfiants tous les chalands.
- Les Nouveaux Eldrens : Vivre dans les structures abandonnées par les Eldrens a sérieusement affecté les premiers membres de cette bande, qui croient fermement au retour de cette civilisation mystérieuse. Ils les prient et les chérissent, jusqu'au détriment du Treizième, et les autres les évitent donc comme la suette nessekoise.

Sud (Lore Mariana)
- Les Gamines : Jeunes femmes faussement innocentes qui ont appris à la dure à cacher des stylets sous leurs jupons pour ensuite mieux les sortir lors de rendez-vous faussement galants avec de jeunes hommes subitement démunis. Certains trucs leur ont été enseignés par des putes de Camorr, mais elles ne se prostituent évidemment pas.
- La Mâchoire : Chaque membre est un Croc et est connu pour une brutalité sans pareil, ainsi qu'un maniement des armes efficace. La Mâchoire est une bande dérivée de la Meute du Rhum, certains de ses membres les plus agressifs s'étant dissociés de la bande originale pour se regrouper sous un nouveau nom. Ils gardent donc certaines coutumes communes, comme le fait de toujours se balader au minimum en duo.

Porte Cenza (Azaria)
- Les Sauteurs de Canaux : Bande de Camorriens de naissance, ils connaissent par cœur le sens de tous les passechats de la ville, chaque tunnel et chaque raccourci qu'offre les lieux. Ils sont de précieux alliés, lors des fuites et des embuscades, mais peuvent également vous mettre en erreur, s'ils vous ont dans le collimateur, et vous faire atterrir directement dans un nid de Vestes Jaunes.
- La Meute du Rhum : Leurs membres s'appellent les Chiens du Rhum (chaque membre est donc un Chien) et il est commun que toute la bande vous tombe sur le dos sans vous prévenir. Ils se promènent toujours au minimum en duo, par précaution.

Eau rouge (Azaria)
- Les Mains Rouges : Cette bande a hérité son nom du quartier où ils sévissent et de la teinture qui tache leurs mains sans qu'un lavage puisse faire partir complètement la chose. Les membres ont pour garrista le meilleur combattant d'entre eux et ils s'entraînent donc régulièrement, ce qui en fait une bande redoutable.
- Les Coupe-Lard : La bande menée par Azaria Arando aime bien à tailler dans le gras des marchands de passage, leur extorquant des taxes ridicules pour avoir le simple droit de passage (et encore, ça, c'est l'aller : le retour n'est pas inclus). Ils ont également une doctrine plutôt extrémiste, envers les Thérins racistes, et il n'est pas rare qu'eux aussi se voient délestés d'une partie de leur butin... ou de leurs membres.
- Les Bleus : Au contraire des Mains Rouges, ils font tout pour que les milices ignorent leur point de chute, préférant encore frapper leurs jusqu'à ce qu'elles bleues et violettes d'ecchymoses plutôt que d'y laisser le rouge caractéristique.

Chute aux Moulins (Azaria)
- Les Tonneliers de la Troisième Roue : Association de faux hommes d'affaires qui tiennent pignon sur la rue des Sept Roues, mais dont la fausse échoppe est toujours fermée. Ils pillent le vin et la bière des réels tonneliers et marchands, cela dit, pour mieux garnir leurs propres tonneaux.
- Les Mômes du Vicomte : Ont à cœur la notion de diplomatie, au contraire d'une élection à vie qui rappelle la monarchie, et élisent donc leur garrista deux fois l'an.
- Les Ouvriers Fainéants : Se font passer pour des ouvriers en déplacement, d'un projet à un autre, et en profitent pour piller des chantiers et emporter divers matériaux à revendre. La légende veut que toute la bande, jadis, ait été pendue suite à une erreur. Faussement travailler lors d'un Jour Fainéant n'est certainement pas une bonne idée... Le nom est resté, rappel funeste de cette erreur.




gifs © evagrecn.tumblr, Game of Thrones ; melodical.tumblr
© reginamiills.tumblr, Blacksails ; reginamiills.tumblr, Blacksails


Dernière édition par Fred le Mar 29 Déc - 21:26, édité 7 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
GANGS
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum test Camorr :: Votre 1ère catégorie :: Trucs transférés-
Sauter vers: